L’exposition des diplômes des 4 mentions de DSAA de l’ésaat s’est tenue le mardi 25 juin dernier. Elle clôture deux ans de formation et marque la fin du cursus d’études de la majorité de ces jeunes designers.
A l’issue des soutenances de diplôme qui se sont déroulées du 20 au 25 juin, les projets de diplôme des étudiants de design d’espace, design graphique, design de produit, design de mode et textile ont été présentés au public. Les projets sont le fruit de plus d’un an de recherche et de développement. Une année de réflexion et surtout d’engagement pour interroger les enjeux actuels et anticiper les besoins de demain. Plus qu’un résultat fini, c’est l’ensemble d’une démarche de réflexion qui a été présentée, notamment à travers l’exposition des différentes étapes du projet.
Durant 2h00, les salles de soutenances ont été ouvertes au public. Les étudiants ont présenté leur travail et expliqué leur démarche aux visiteurs. L’exposition s’est conclue par un moment convivial dans la cour de l’école !
Le projet d’architecture intérieure des étudiantes de DSAA Espace pour la salle polyvalente de la médiathèque de la Madeleine s’est concrétisé après plusieurs mois de travaux. Retour sur une réalisation exemplaire à l’occasion d’une visite organisée pour découvrir le projet réalisé en compagnie de Mme Massiet, 2ème adjointe de la Ville de la Madeleine, M. Tywoniuk, directeur de la médiathèque, M. Leroy, médiathécaire et Mesdames Leleux et Lorimier de l’entreprise Craft décor qui a réalisé le projet.
C’est avec beaucoup d’émotions que les trois étudiantes de la promotion 2024 de DSAA espace : Noémie Ducrocq, Léa Mouton et Léa Peyraud, sont revenues à la médiathèque de la Madeleine ce 27 juin 2024 pour découvrir les aménagements réalisés à la médiathèque. Le projet a en effet débuté en septembre 2022, il s’agissait du premier projet mené dans le cadre du cours de Laboratoire d’expérimentation et de recherche en première année de DSAA. La médiathèque de la Madeleine a fait appel au DSAA espace de l’ésaat pour repenser l’aménagement de sa salle polyvalente afin qu’elle puisse accueillir de multiples usages : temps dédiés à la pratique des jeux vidéos, expositions ponctuelles, accueil de comités de lecture, ateliers avec le public scolaire… L’enjeu du projet consistait donc à imaginer un aménagement suffisamment modulable et réversible pour s’adapter tant dans sa configuration spatiale que dans son identité à ces diverses activités.
Le projet a été abordé sous la forme d’un mini concours. Après une phase d’esquisses individuelles, 4 projets ont été retenus sur les 10 proposés. Les étudiantes ont ensuite travaillé en équipe de 2 ou 3 pour les études d’avant-projet. Le projet Reverse a été retenu par le jury à l’issue de la phase de développement.
Le projet Reverse a l’avantage de proposer une solution modulable, économique et éco-conçue. En effet, les étudiantes ont fait le choix de réemployer une partie des mobiliers existants et de les transformer. La pièce maitresse du projet est un très grand meuble de rangement qui permet de dissimuler les tables, les chaises et les fauteuils destinés aux ateliers pédagogiques et aux clubs de lecture lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Il est surmonté d’une fresque murale en volume qui rappelle le logo de la médiathèque. Autour de ce meuble, gravitent 5 mobiliers sur roulettes qui accueillent les équipements dédiés aux jeux vidéos. Ces derniers peuvent se fermer et devenir cimaises lorsqu’ils sont retournés. Une nouvelle borne d’accueil sur roulettes a également été conçue.
Après la phase de développement, plusieurs semaines et de nombreux échanges avec les personnels de la médiathèque ont été nécessaires pour réaliser le carnet de détails. La production des dessins techniques et les missions de prescription ont été suivis par Jules Froissant, dans le cadre du cours de Pratiques techniques. Le projet a été brillamment réalisé par l’entreprise Craft décor qui a produit les mobiliers et effectué les travaux.
» C’est impressionnant de voir un projet que l’on a dessiné se réaliser » .
Les étudiantes ont pu découvrir les petites modifications opérées par l’agenceur, échanger pour comprendre les ajustements réalisés et comparer les plans initiaux et le projet finalisé. La réalisation clôt de façon magistrale la formation DSAA de ces trois étudiantes fraichement diplômées !
Le musée a pris place dans la Maison de l’Abbé située à proximité de l’église Saint-Eloi d’Hazebrouck. Cette maison, construite entre 1899 et 1900, a gardé son authenticité. Elle montre aux visiteurs le cadre de vie et de travail d’un homme qui fut prêtre, député du Nord de 1893 à 1928, maire d’Hazebrouck de 1914 à 1928 et «père» des jardins ouvriers en France. Le musée dispose de deux salles restées en l’état après la mort de l’Abbé et d’une collection d’écrits originaux, d’objets, de peintures, de photographies et de mobiliers qu’il souhaite valoriser.
Le musée va faire l’objet d’une extension à l’occasion de la rénovation du béguinage adjacent et c’est dans cette optique que les étudiants de DSAA ont été invités à repenser totalement l’aménagement et la scénographie de l’exposition permanente de la Maison-Musée afin d’en faire un lieu de visite, animé par l’œuvre et les combats de l’abbé Lemire.
Une première visite de site le 10 septembre a permis de rencontrer les membres de l’association et d’effectuer les relevés de mesure de la Maison-Musée. En s’appuyant sur le synopsis et la liste des expôts proposés par l’association, les étudiants ont défini le séquençage de la future exposition et ont choisi un parti-pris scénographique. A la suite d’une phase d’esquisses individuelle, cinq projets ont été choisis par l’association pour être développés en équipe. La phase d’avant-projet a permis d’affiner les esquisses en prenant en compte les contraintes architecturales et patrimoniales du site. Les étudiants ont dessiné les supports scénographiques, défini précisément le placement des expôts, imaginé des manipes et réalisé un devis estimatif des travaux. Ils ont été accompagnés durant la phase de conception par Matthias Delattre, scénographe et gérant de Nuüd studio.
Dans le cadre du projet, les étudiants ont également rencontré Guillaume Coquant, architecte au sein de l’agence Form@ en charge de la rénovation du béguinage d’Hazebrouck ainsi que la scénographe Carole Dekens, fondatrice de l’agence Fabula factory chargée de sensibiliser les étudiants à la problématique du réemploi et aux procédures d’appels d’offre en scénographie.
La phase d’avant-projet a été soutenue oralement en présence de l’association le 10 novembre. Les projets ont permis à l’association d’envisager concrètement de nouvelles possibilités scénographiques pour le musée. Les estimations budgétaires serviront quant à elles à engager des demandes de subventions.
Ce jeudi 8 décembre, les étudiants et les enseignants de l’option architecture intérieure de l’école ARTS² de Mons en Belgique sont venus visiter l’ésaat et rencontrer les étudiants et les enseignants de design d’espace. Cette rencontre concrétise le partenariat Erasmus entre les deux écoles, récemment signé !
Malgré un programme chargé : visite du musée La Piscine, de la Condition Publique et de la villa Cavrois, les étudiants de Bachelor de l’option architecture intérieure et leurs enseignants sont venus nous rendre visite. Après une présentation des formations en design d’espace à l’ésaat par les enseignants, Gustavo San Juan, référent pédagogique érasmus pour l’ésaat a présenté les possibilités de séjours d’études à l’école.
Les étudiants de DNMADe 2 et DSAA sont ensuite venus à la rencontre des étudiants du Bachelor autour d’un pot pour échanger sur leurs formations et leur proposer une visite express des ateliers de l’ésaat !
Cette première rencontre très conviviale augure une belle collaboration entre nos formations : un workshop entre les étudiants de bachelor 3 et de DSAA 1 est d’ores et déjà prévu pour le mois de janvier.
Du 17 au 21 octobre 2022, les étudiants des DSAA mentions espace, graphisme et produit se sont réunis dans le cadre du workshop « Design en Vallée de Scarpe ». Le workshop a constitué la première phase d’un concours organisé par Le Parc Naturel Régional Scarpe Escaut pour concevoir l’aménagement de lieux de pause le long de la voie verte de la vallée de la Scarpe.
L’ambition de ces aménagements est de développer l’attractivité touristique du territoire qui recèle des pépites naturelles et patrimoniales aujourd’hui insoupçonnées du grand public voire même des habitants de la vallée. Les futurs lieux de pause devront rendre aux visiteurs de passage dans la région ou qui habitent à proximité la possibilité de fréquenter les berges de la Scarpe en proposant des expériences sensorielles insolites à destination des promeneurs et des cyclistes.
Les étudiants ont été répartis en 10 équipes inter-mention pour travailler sur un des trois sites proposés : l’écluse de Thun-St-Amand, la tourbière de Vred, le pont métallique de Germignies. Pour chaque site, il s’agissait de concevoir des points de vue vers les espaces naturels ou patrimoniaux, des mobiliers de pause, des éléments de signalétique et des supports pédagogiques.
Les étudiants ont été accueillis durant trois jours au centre d’éducation à l’environnement d’Amaury, dans un cadre forestier idyllique. La première journée a été dédiée à la présentation des enjeux du projet et à la visite des trois sites. Les jours suivants, les étudiants ont travaillé en équipe sur la conception, accompagnés par les enseignants des trois mentions et par Karine Haudrechy, paysagiste.
A l’issue de la semaine, les 10 équipes ont soutenu leur projet devant les partenaires qui ont fait part de leurs conseils et de leurs remarques en vue d’affiner les projet.
Prochaine étape : ajuster et développer les propositions pour les présenter en janvier au groupe de travail Itinérance qui désignera les trois projets lauréats !
Renouveau, réhabilitation, paysage portuaire et balnéaire, occupation de sites industriels par des acteurs culturels comme à la Halle aux sucres tournée vers un urbanisme respectueux de l’environnement, et avec l’association artistique Fructôse, visite libre de la ZAC Grand Large… c’était le riche programme de ce jeudi 10 novembre, proposé aux étudiants de 1ère et 2nde années du DN MADe Espace, pour découvrir la ville côtière.
En descendant du bus, sous le soleil et le vent, les premiers paysages contrastés se dévoilent entre rouille et vieux hangars, terres artificielles et bord de l’eau, bâtiments patrimoniaux réhabilités et nouvelles constructions… Connue pour son aspect industriel, ses activités portuaires, mais également son importante empreinte carbone, la ville de Dunkerque tente pourtant de se renouveler, en retournant la ville sur sa qualité première, sa proximité avec la mer.
À la Halle aux sucres, Simon Brats nous présente la réhabilitation de l’ancien entrepôt par l’architecte Pierre-Louis Faloci : le bâtiment imposant est scindé en deux, laissant apparaître une longue rampe avec une pente marquée de 10% permettant au public d’accéder à l’accueil situé au 2nd étage, en traversant entièrement le bâtiment patrimonial. De grands vitrages sur les faces internes donnent de la profondeur en reflétant le ciel bleu, avec l’impression « comme d’avoir coupé la mer toute proche en deux » en amenant à l’intérieur beaucoup de lumière. Le dispositif de rampe permet d’y stocker, à l’abri de la lumière, les archives de la ville, en lien avec une agence d’urbanisme, un institut d’études territoriales, une association de la ville durable et un learning center hébergés sur le site. Car la Halle aux sucres est un espace de rencontres entre des personnes et des compétences diverses qui pensent à des solutions novatrices durables. On prend d’ailleurs conscience, en regardant le paysage portuaire sur le toit de la Halle, de la transition écologique importante que doit faire Dunkerque.
Aux ateliers Fructôse, juste à côté, Hélène Cressent nous raconte l’histoire de son association de soutien aux artistes qui leur permet d’avoir chacun un atelier personnel chauffé, des cellules individuelles construites tel un village démontable au sein d’un ancien hangar industriel, tout en ayant accès à différents espaces communs pour imprimer, travailler le bois ou le métal. Le lieu est atypique et original, il est la conséquence d’une occupation, au départ sauvage, mais ensuite acceptée par la commune qui a compris tout l’intérêt de faire revivre le site par le biais d’actions culturelles. Dehors, un espace carré bordé d’une palissade infranchissable de planches, nous intrigue. Il s’agit d’une action artistique de Steve Abraham et Nicolas Messager appelée « Forêt du Petit Mince », une friche de 100 m2 laissée vierge de toute intervention humaine pour voir si une forêt est en devenir, si les graines portées par les bateaux pourraient investir l’espace et se développer. Pour l’instant on n’y découvre que des mauvaises herbes…
Le quartier du FRAC Grand Large accueille la pause déjeuner, à proximité de la côte et du sable. Sentir la mer et manger face à l’étendue d’eau ressource certains étudiants, tandis que d’autres décident de profiter des bancs abrités du vent du jardin des sculptures du LAAC (Lieu d’Art et d’Action Contemporaine). L’après-midi, c’est une promenade libre au sein de la ZAC encore en construction, espace résidentiel géré en tant qu’écoquartier, possédant en son centre une structure en arc de cercle autour d’un espace vert permettant une qualité de vie comme une bulle d’air en pleine ville. Mais le quartier plutôt désert l’après-midi, sans commerces malgré sa proximité avec l’université et ses deux musées, laisse une impression mitigée aux étudiants.
Le FRAC nous a ensuite proposé plusieurs expositions d’art contemporain tournées vers le design, dans un bâtiment conçu par Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, sur le site des anciens chantiers navals. Les architectes ont choisi de protéger la Halle AP2, constitutive de l’identité du territoire qui a vu y naître les plus grands navires, en juxtaposant au bâtiment un double aux dimensions identiques. L’architecture au dernier étage nous offre, avant de partir, une vue saisissante sur la passerelle rejoignant le musée de la plage jusque Malo les Bains et la Belgique.
Avec cette sortie, nous avons découvert de nouveaux quartiers et de nouveaux bâtiments, certains entièrement neufs avec une recherche d’économie énergétique et d’autres implantés sur les restes d’un passé industriel récent, rares traces patrimoniales préservées malgré la destruction de près de 70% de la ville durant la 2nde guerre mondiale. Nous avons surtout été surpris par la capacité de Dunkerque à se renouveler pour répondre aux enjeux urbains actuels et devenir une ville où il fait de plus en plus bon vivre, avec la mer et le vent en toile de fond.
Écriture à plusieurs mains, avec tous les étudiants de L1 DN MADe Espace, en cours de Culture des arts
Les 8 et 9 septembre, se sont tenues les journées d’intégration de DSAA de l’ésaat. Les étudiants de première année des mentions espace, graphisme, produit et mode et textile ont été répartis en 11 équipes pour concevoir des microarchitectures en carton à l’aide des kits d’assemblage MakeDo.
Durant ces deux intenses journées, les équipes de 4 ou 5 étudiants ont travaillé à partir de carton ondulé de récupération et ont expérimenté les assemblages pour imaginer de petites construction portant un regard sur la question d’habiter la ville aujourd’hui. A l’issue des deux jours, chaque équipe a présenté un prototype à l’échelle 1/5ème en présence de Bertrand Baudry, curateur de la makerFaire.
Ces micro-architectures seront réalisées à l’échelle 1 lors d’ateliers avec des élèves de primaire le vendredi 14 octobre pour l’édition 2022 de la makerFaire qui se tiendra à Lille, à la Gare Saint Sauveur.
Les étudiants et les équipes pédagogiques des DSAA espace et produit de l’ésaat sont heureux de vous accueillir à la présentation des diplômes de la session 2022, le mardi 28 juin de 18h00 à 20h00 au To6. To6 (ancienne chaufferie de La Tossée) 59 avenue de l’union – 59200 – Tourcoing
Le challenge s’est déroulé les 22 et 23 novembre. Il a réuni plus de 120 étudiant·e·s issu·e·s de différents organismes de formation de la région : l’université de Lille, l’ésaat de Roubaix, l’ESAD d’Amiens, le lycée Gaston Berger de Lille, l’Université d’Artois, le lycée Voltaire de Wingles.
Durant deux jours, les étudiant·e·s ont pu vivre une expérience entrepreneuriale culturelle créative, inédite et valorisante en immersion sur trois sites emblématiques du territoire : Le musée du Louvre-Lens, Louvre Lens Vallée et le Stade Bollaert-Delelis.
Afin d’impulser une dynamique collective de projet et d’accompagner les équipes dans leur démarche entrepreneuriale, les étudiant·e·s ont été accompagné·e·s par des professionnel·le·s : designers, créateurs d’entreprise et spécialistes de la culture.
À l’issue des deux jours, les étudiant·e·s ont exposé leurs propositions aux partenaires dans le hall du Louvre Lens.
Une exposition des productions étudiantes se tiendra à la Bibliothèque Universitaire de l’Université de Lille sur le campus Pont-de-Bois du 17 au 28 janvier 2022.
Du 8 au 10 novembre, les étudiant·e·s des trois promotions de DN MADe du parcours Espaces habités sont parti·e·s à la découverte de Bruxelles, d’Anvers et de Louvain-La-Neuve.
Carnet de croquis en main, nous avons commencé notre exploration architecturale et urbaine par la découverte des façades Art Nouveau de Bruxelles dans le quartier du Châtelain. Une étape dans le centre-ville a permis de découvrir les majestueuses Galeries Royales et la Grand-place. La première journée s’est achevée par une visite du Design Museum de Bruxelles : passé l’escalier conçu par Jean-Nouvel, nous avons été plongée·s dans l’univers pop et coloré du mobilier en plastique !
Le deuxième jour, le voyage nous a mené·e·s jusqu’à Anvers où nous avons admiré l’impressionnante Maison du port (Havenhuis) conçue par Zaha Hadid. Nous avons ensuite visité le MAS (Museum Aan den Stroom) du sommet duquel la ville d’Anvers et son gigantesque port se révèlent à perte de vue. Notre escale à Anvers s’est achevée par la visite du M KHA, le musée d’Art contemporain.
Le mercredi matin a été consacré à la visite du Musée Horta, autrefois résidence principale et atelier de l’architecte. A l’intérieur, les espaces s’articulent et se dilatent autour du grand escalier. Les ornements témoignent de l’inspiration végétale de son concepteur et du soin apporté à chaque détail.
Notre séjour s’est terminé par la visite guidée d’Ottignies-Louvain-La-Neuve. Cette ville, située à 30 km de Bruxelles est un modèle de ville nouvelle universitaire unique en Belgique. La construction de la ville a débuté dans les années 1970 sur d’anciens terrains agricoles. Le centre-ville est construit sur une gigantesque dalle de béton qui supporte bâtiments et rues piétonnes. En dessous, se trouvent les parkings et voies de circulation automobiles. Ses concepteurs se sont inspirés des villes occidentales médiévales qui alternent des ruelles étroites, et de petites places favorisant la déambulation piétonne. La ville est densément habitée, toutefois les constructions n’excèdent pas 5 étages. Au cœur de la ville, les nombreux bâtiments universitaires de l’UCLouvain accueillent plus de 22 000 étudiant·e·s !