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Beaucoup des étudiantes et étudiants de cinéma d’animation seront, dans leur vie professionnelle, confrontés au régime de l’intermittence. Il est donc nécessaire qu’ils et elles soient sensibilisés aux subtilités, complexités et avantages de ce régime spécifique.

L’intervention de Totem – Pôle emploi spectacle (prochainement France Travail) réalisée le 6 décembre à l’ésaat avait pour objectif de sensibiliser les trois classes d’étudiantes et étudiants de DN MADe Cinéma d’Animation aux services proposés afin de faciliter l’insertion professionnelle dans le monde de l’animation et de comprendre le régime de l’intermittence du spectacle.

Une conférence riche d’informations avec un public attentif et intéressé qui a posé quantité de questions.

Notons que l’antenne des Hauts-de-France communique souvent via sa page Facebook (compte requis).
Merci aux deux conférencières, Alexandra et Perrine, pour leur pédagogie et leur disponibilité.

La Nuit de l’Animation, qui se déroulera au Théâtre Sébastopol de Lille, le samedi 24 septembre, de 21h00 à 6h du matin, c’est 9 heures de projection, dédiées au film d’animation : inédits, coups de cœur, courts, clips et longs métrages à (re)découvrir dans une ambiance survoltée.

C’est durant cette soirée que chaque année un focus est fait sur la création régionale. Cette année, le choix s’est porté sur l’ésaat et ses formations en cinéma d’animation.
Nous avons donc l’honneur d’ouvrir la soirée en présentant un certain nombre de courts-métrages d’animation réalisés par nos étudiant·es, depuis plus de 20 ans.

1998 était en effet l’année d’ouverture de la première formation post-bac en cinéma d’animation dans un établissement public : le DMA_Diplôme des Métiers d’Arts (devenu depuis 2019, le DN MADe Cinéma d’Animation.), fruit d’un travail de plus de 3 ans de quelques enseignant·es de l’ésaat (toujours bien présent·es au sein de ces formations), aidé·es en cela par les professionnel·les de la Région.
Cette formation initiale a été complétée, depuis 2015, par une formation professionnalisante d’un an : la FCIL Cinéma d’animation.

Un beau brassage générationnel se prépare, car un certain nombre de réalisateur·trices des films sélectionnés ont répondu présent·es pour assister à cette projection.

Réservation ouverte ici.

Afin de mettre en valeur les productions faites durant son module Stop-motion_Approche de l’animation volume, l’intervenante professionnelle, Marion le Guillou, vient de nous faire parvenir un petit montage vidéo regroupant les différentes réalisations des élèves de notre formation en alternance (FCIL) en Cinéma d’animation.

Pour rappel, par binôme, les étudiant·es avaient dû créer, à partir d’une armature fournie, un personnage en volume sur le thème du cirque avec une contrainte pour l’animation : prévoir l’entrée et la sortie de champ d’un objet.

L’ensemble a été produit en 5 jours.

Les 11 étudiant·es de notre Formation en alternance (FCIL) en cinéma d’animation viennent de conclure leurs 11 modules de formation, égrainés tout au long de l’année scolaire au sein de notre école.

C’est durant un de leurs derniers modules, d’une durée de 5 jours, autour de la réalisation et mise en scène, qu’ils ont réalisé, en petits groupes, deux court-métrages d’animation.

Aidée par leur intervenant professionnel, Constantin Beine, chaque équipe a dû, à partir d’un cadavre exquis fait préalablement et collectivement, sélectionner un certain nombre de plans pour arriver à une narration cohérente.

C’est ensuite à partir de cette trame, que les étudiant·es ont finalisé leurs films, très différents l’un de l’autre : Doki, Doki Murder (de Pernette Pedoussaut, Alicia Monnot, Camille Vandehautte, Fanny Vignoles et Luca De Aranjo) et Mama (de Camille Dorey, Inès Thomassin, Léonie Liefooghe, Arthur Catteau et Tom Langevin). Ils·elles ont, pour ce faire, dû mettre en pratique toutes les nouvelles compétences acquises depuis le début de leur formation.

Ancienne étudiante de notre DMA (devenu DN MADe) Cinéma d’Animation et de notre formation professionnalisante (promotion 2020), Amélie Causse vient de sortir son premier album de bandes dessinées, au dessin sensible et délicat : La Commode aux tiroirs de couleurs, édité aux éditions JC Lattès-Grand Angle, adapté du premier roman d’Olivia Ruiz (sorti en 2020).

Elle fut aidée pour cela par Véronique Grisseaux pour le scénario et le dessinateur Winoc, pour le découpage et la mise en place des décors.

Amélie Causse rejoint ainsi le club de nos ancienn·es devenu·es maintenant, pour certain·es, des auteur·es de bandes dessinées reconnu·es comme Pozla (Carnet de santé foireuse, L’homme qui courait après sa chance, aux éditions Delcourt)

Pozla_Carnet de santé foireuse
Pozla_L’homme qui courait après sa chance

ou Amélie Fléchais (Les bergères guerrières, 4 tomes, aux éditions Glénat), pour ne citer qu’eux·elles.

Amélie Fléchais_Les Bergères Guerrières